SAISON PASSEE

Nous allons clôturer notre saison sportive le 26 juin par une belle balade sur FRONTENAC pour  la journée cette fois pensez à porter votre pique-nique nous vous proposons de faire auberge espagnol (on met tout en commun sur la table). 

Alors amis adhérents prenez vos chaussures vos lunettes de soleil, votre masque, votre grande bouteille d'eau et votre casquette ou chapeau et en avant !!

Mais surtout inscrivez vous bien par mail pour confirmer votre présence.

Coucou les marcheurs !!! Alors voici les photos de ce dimanche qui était somme toute pas très pluvieux. Nous avons fait une belle balade le long de la Garonne et dessus aussi . Le Batcub c'est chouette !!! En tout 7 kms sur terre et nous étions tous très contents de ces belles bouffées d'air frais à travers le masque. On se retrouve dimanche prochain comme convenu les amisle soleil doit être là …. envoi du mail ce soir pour réserver sa place car toujours bloqué à 12 max donc 10 participants.

Balade du 20 mars 2021 sur LORMONT

Bonjour à toutes et tous voici les photos de la balade d'hier une boucle avec départ du château des Iris vers le parc de l'Ermitage et retour par la ferme des animaux des Iris. Une flore en fleurs et merci à Hervé de nous avoir donné des mini cours de botanique

le printemps est là!!!

Merci à vous d'être venus c'est toujours un plaisir de marcher avec vous .

Cette page décrit les randonnées de la saison en cours, celles des saisons passées sont accessibles par le lien ci-après.

Le Printemps  était là, mais aussi la préparation d'un match de foot au nouveau stade. Résultat pas d'accès au Parc floral le long du vélodrome.

Nous étions quatre au terminus du tram, avec un bon soleil en plus. Il a fallu rejoindre l'entrée du Bois de Bordeaux en longeant les parking du Parc des Expositions et les installations sportives du tennis-club. Il faisait bon sous les arbres, et nous avons rallié le parc floral, en profitant des azalées en fin de floraison près du torrent de montagne, puis la pivoineraie où les premières fleurs éclairaient les massifs.

Le retour s'est fait par le bois, ce qui a porté la distance à 10 km, parcourus à 4 km/h environ, ce qui était bien pour les randonneurs présents.

RDV pris pour la prochaine sortie à Majolan.

Au pied du lion bleu, sept randonneurs se concertent et descendent vers l'embarcadère du BatCub, le temps est frais mais ensoleillé. Certaine prend le bateau pour la première fois, une autre fête son anniversaire : bref, c'est la fête ! Bordeaux étale ses paysages dans lesquels se reflète son histoire, du Pont de Pierre au port de Lormont. Raymond nous rejoint directement sur le quai d'arrivée.

En remontant par la rue du général de Gaulle, on peut admirer l'église St Martin et les façades anciennes de Lormont, abritant le lavoir de Blanchereau et les façades sculptées. Le rue du Sang grimpe jusqu'au niveau du tablier du Pont d'Aquitaine, près du château du Prince Noir. Puis c'est la Mairie (château de La Bachellerie - du nom des associations de jeunesse du XVII° siècle) et le Château des Lauriers  (Lormont = mont aux lauriers) qui  héberge maintenant le musée national de l'assurance maladie. Après avoir tenté de lever l'ancre près du musée archéologique de Lormont, c'est à côté de la médiathèque que l'on découvre de château du Bois Fleuri, construit sur le modèle du château de Neuschwanstein en Bavière. Dommage qu'il ne soit pas  déjà restauré ! Le retour vers le quai passe par le stade Dugarry et les coteaux garnis de jardins fleuris du Vieux Lormont. Nous arrivons juste à l'heure pour embarquer pour le retour vers le Pont de Pierre.

Au pied du pont Chaban nous étions quatre randonneurs, équipés pour les éventuelles ondées de Mars.

Avant de partir, nous avons évoqué le moulin marée-moteur des frères Teynac (1785), devenu ultérieurement  (1835) Faïencerie David Johnston, puis FaIencerie Veillard (1845) jusqu'à 1902. Nous avons franchi les deux écluses aériennes des bassins à flôt (la troisième, sous abri bétonné, a été détruite dès 1946). En face du nouvelles halles, la Cité du Vin , confortablement assise telle la Petite Sirène au bord du fleuve, soulève des interrogations pour ceux qui n'en connaissent pas encore l'architecture intérieure. Le Magasin des Vivres de la Marine de la rue  Achard est en restauration. Chais et raffineries de sucre (St Rémi) rappellent le passé industriel de ce quartier dans l'entre deux guerres, bien que les grandes usines et chantiers aient maintenant disparu. Le dépot des Trams rive gauche est presque en face de celui de la rive droite. Après la rue Arago, le boulevard Daney nous amène derrière la Base Maritime, dont les ateliers sous béton sont colonisés maintenant par la distillerie récente Moon Harbour. Sous les murailles de béton, la file des touristes en attente du sésame d'accès au musée (créations contemporaines) s'étire le long des alvéoles dans lesquelles les sous-marins italiens et allemands s'abritaient lors de leurs escales bordelaises. Les ouvertures sur le bassin à flôt n°2  laissent voir les bateaux de plaisance qui hivernent à Bordeaux. Après avoir contourné le bassin, nous franchissons le pertuis dont le poste de commande du pont  existe encore sous l'une des grues historiques du port.  Au fond à gauche du bassin n°1 , les deux formes de radoub rappellent les transatlantiques des grandes heures du port. Ces bassins datent de la première décennie du XX° siècle et ne constituaient que les premiers des douze bassins du projet initial. Les armements à la morue ont cessé en 1975, plongeant le port dans une léthargie dont il commence à sortir avec la plaisance, le tourisme et la mise en valeur immobilière.

Randonnée en boucle de 6 km (2 heures) sans dénivelé autour des bassins à flot du port de Bordeaux.

Malgré le beau temps, pas de participant à cette randonnée. Hervé a donc parcouru Talence du parc de Peixotto à celui de Fontaudin, avec retour par le tram.

Il faisait un soleil printanier lorsque nous avons démarré pour notre randonnée dans les bois de Thouars, deux familles et Hervé. Certes le sol se souvient de la pluie des jours passés, et les arbres sont assez déplumés, mais nous avons profité d'un bel après-midi.

Je ne vous raconterai pas l'histoire du château de Thouars (forteresse du XIII°, puis pavillon de chasse XIV° et XV°, Anglais jusqu'à la fin de la guerre de Cent Ans, puis vendu à des négociants protestant, puis saccagé à la Révolution, restauré au XIX° et enfin acquis par la ville de Talence dans la fin du dernier siècle). Je ne vous dirai pas que c'est une forêt semi_primaire enclavée dans une ville qui la grignote de PLUs en PLUs, malgré sa richesse et sa biodiversité. Quant au parc policé de Sourreil, objet d'une donation vers la ville de Villenave, je ne vous dirai pas les abeilles et les micocouliers, ni les dépendances associées aux Arts Vivants etc.

Tout ceci figure dans un compte rendu récent (septembre 2017). Par contre, il y a toujours d'anciennes demeures discrètement planquées derrière des murs de propriété, de longues allées qui furent les routes de liaison entre Talence et Villenave, des fossés vivants qui s'écoulent vers l'Eau Bourde.

Voyez les photos, et préparez vous pour notre prochaine sortie.

Amitiés pour tous.

Froid et humide ! Voilà le temps qui nous a accompagné depuis notre RDV près de Cap Sciences, jusqu'au Pont de Pierre où nous avons opté pour un retour au chaud par le tram. Nous étions six dont Adrien avec son vélo. La remontée vers le col du pont Chaban a été dure, d'autant qu'un petit vent nous y caressait les oreilles.

Il y a toujours des promeneurs sur ce circuit, le tour des deux ponts invitant à une sortie tonique, avec toujours ce magnifique panorama sur Bordeaux. Les Moulins de Paris, les bases du transbordeur, la caserne Niel, le jardin des angéliques, le jardin botanique et la gare d'Orléans inspirent l'animateur sur l'histoire et les métamorphoses de la métropole. Du pied du Lion bleu de Stalingrad, on voit de l'autre côté du Pont de Pierre, les deux hydroliennes expérimentales de Bordeaux (les flotteurs blancs à droite sur la photo) ; en voilà au moins deux qui sont au courant !

Comme chaque année, nous avons parcouru le Vieux Bordeaux pour admirer les décorations festives. C'est Alain qui a su associer les histoires et l'Histoire des sombres ruelles tortueuses et des grands cours du siècle des Lumières. A ce sujet, les illuminations, cette année, n'avaient peut-être pas tout l'éclat attendu, mais sans doute par raison d'économie. Les sept courageux qui ont affronté la froidure de cette soirée ont su se réchauffer à l'abri des flèches de la cathédrale, dont les illuminations sont permanentes.

BONNES FÊTES POUR TOUS LES ADHÉRENTS D'AQOB RANDO ET D'AQOB !

Présentation :

Randonnée de 14h à 16h30 le dimanche 3 Décembre 2017, animée par Hervé LE GAL. Randonnée en boucle, la campagne en ville 4,2 km sans dénivelé parcourus en 2h.

Départ de l'entrée principale du Parc Bordelais face à l'avenue Carnot.

Derrière les grilles du Parc Bordelais (1889) se cache une campagne offerte à ses contemporains par Camille Godard dont le buste contemple le grand lac entouré d’arbres vieillissants mais imposants : séquoias, magnolias et cyprès chauves. Notre petit groupe de randonneurs remonte les allées vers le théâtre de Guignol. La réhabilitation du parc lancée depuis une dizaine d’années, ménage de larges zones naturelles occupées par les lapins et les écureuils.

Ce matin d’automne étale le tapis des feuilles jaunes d’or sous les gingkos à proximité de la statue la plus emblématique du Parc, représentant l’enlèvement d’Iphigénie par Diane (1880 par Félix Soulès). L’histoire est belle quoique peu glorieuse, mais l’état de cette statue négligée par la municipalité est lamentable suite à son exil des jardins de la mairie. Diane se drape dans sa dignité et un sac de toile qui masque la décrépitude de ses bras.

Le parc animalier rassemble divers chèvres, porcs noirs et ânes, issus de la faune domestique régionale. Quelques paons se pavanent au voisinage de la statue du « Vaincu » entourée de camélias.

Une incursion dans les quartiers de Caudéran est l’occasion d’évoquer les trois grands tunnels qui évacuent les eaux pluviales du ruisseau Caudéran depuis 1986 vers le collecteur de la rue David Johnston et la Garonne. Belphégor, le tunnelier, hante encore les sous-sols du cours Xavier Arnozan. L’insalubrité et les risques d’inondations du quartier sont de l’histoire ancienne, quoique …

Les anciennes propriétés occupées maintenant par le parc bordelais ou les grandes institutions comme Grand Lebrun, étaient au XIX° siècle des domaines viticoles qui produisaient le vin de ville très prisé à l’époque, autant que celui des Queyries de la rive droite. Le mercredi des Cendres, les bordelais avaient coutume de venir à Caudéran déguster les limaçons. C’est pourquoi le blason de la ville de Caudéran comporte trois escargots. Caudéran est resté une commune libre jusqu’en 1965. Caudéran était aussi connu pour ses guinguettes, dont une des plus connue a été la villa Primrose, qui abrite maintenant les grands tournois de tennis bordelais.

Notre randonnée vers la rue de l’école normale, nous fait découvrir un ensemble de bâtiments connus comme Maison de santé Marie Galène, issu d’un couvent construit en 1833, et destiné aux grands malades défavorisés. Cette vocation est restée avec une unité de soins palliatifs. En contournant ce quartier, on peut encore voir un cloitre donnant sur une piscine, près de deux piliers sculptés encadrant la rue du Sacré Cœur.

Le retour vers le fond du Parc nous fait découvrir nombre de façades art-déco, mêlées à des villas arcachonnaises. Les canards et autres oies, familiers ou parés de couleurs éclatantes, sont rassemblés près du petit pont d’où quelques promeneurs leur lancent des restes de pain dur. Nous regagnons ensuite la sortie vers l’avenue rappelant que le Président de la république Sadi Carnot a inauguré ce parc en 1888.

Présentation :

Sortie de 9h00 à midi le samedi 21 Octobre 2017, animée par Hervé LE GAL. Randonnée en boucle, de 7,0km, dénivelé 30m, parcourue en 2h45.

Départ et arrivée sur le site du prieuré de Cayac. - Bus liane 10 arrêt Cayac.

Description :

Il faisait bien gris et frais lorsque nous nous sommes retrouvés sous les platanes du parking de Cayac. Nous étions treize regroupés sous les portails de l’église du Prieuré de Cayac, salués par la seule averse de la matinée. Combien de pèlerins jacquaires depuis le XII° siècle (mais surtout entre le XIII° et le XIV° siècle) ont quitté Bordeaux  par cette porte des Landes ? Jusqu’en 1981, les véhicules sont passés entre église et prieuré, avant que la N10 ne soit déplacée sur sa trajectoire actuelle.

En remontant vers la butte du domaine de St Albe, nous découvrons le nec-plus-ultra des lavoirs du XVIII° siècle, circulaire, avec deux bassins (lavage et rinçage ?) et ses quatre postes de travail à hauteur de lavandière : mais d’où nous vient cette merveille technologique ? Lorsque l’échangeur de la rocade avec l’autoroute de Bayonne s’est installé sur le lieudit la Crabette au domaine de Lafitte, ce lavoir était sur la trajectoire et a donc été transféré ici. Mais qui était ce Jean Lafitte qui a donné son nom à cette propriété en 1827 ? Le croirez-vous, c’était un fils de négociant de Gradignan, parti à la Nouvelle-Orléans, où il exerçait ses talents de corsaire avec son frère Pierre. Après avoir appuyé les américains contre les anglais, avoir un peu trafiqué à partir de son royaume dans les bayous (même les esclaves), bref amassé un trésor que bien des aventuriers rêvent encore de retrouver, il avait préparé l’évasion de Napoléon de l’île de Ste Hélène en 1821. Mais la mort de Napoléon a ruiné son projet, et après encore un peu de piratage il était rentré à Gradignan et avait acquis ce domaine de la Crabette.

Nous longeons le parc de Montgaillard,  dont le château actuel ne date que du XIX° siècle, partageant le domaine avec des lotissements résidentiels. Pourtant vers le XI° siècle se dressaient à St Albe et à Montgaillard deux châteaux  dits « à motte et à basse cour ». C’est-à-dire constitués d’une fortification (motte) surmontée d’un donjon, et d’un enclos (basse cour) relié au château par un pont levis. Le seigneur et sa garde occupaient le château, tandis que l’intendance paysanne et guerrière  s’activait dans la basse cour. Une autre basse cour intérieure aux fortifications constituait un abri pour la population en cas d’attaque.

Pour rejoindre le château d’Ornon, nous cheminons le long des vignes (appellation Pessac-Léognan) dont l’automne rehausse le feuillage de lourdes couleurs rouge et grenat. C’est la saison de l’arrachage des vieux ceps tordus par de longues années de labeur, et la préparation de leur remplacement par de nouveaux pieds tout neufs. Nous sommes intrigués par de jeunes pousses herbeuses qui lèvent entre les rangs de vigne, sans doute une « bonne » herbe plantée pour empêcher les « mauvaises » herbes de pousser.

Nous allons traverser ensuite les vignes du domaine de Seguin. Ce que l’on voit du château d’Ornon, comme de celui de Seguin, ce sont des grandes demeures bourgeoises, tournées vers les riches parcelles viticoles, assises ici sur plusieurs mètres de graves qui font la qualité du terroir. Le domaine de Seguin a récemment été vendu de particulier à particulier, et donc les photos des intérieurs sont encore visibles sur internet, présentant le charme tranquille et suranné des résidences campagnardes du début du XX° siècle.

Derrière le domaine de Seguin, un enclos englobe un petit étang et des bouquets de petits arbres abritant moutons, chèvres (de M. Seguin, bien sûr) et chevreaux. Les chemins de traverse ont été conservés entre domaines et lotissements, et nous permettent de rejoindre le vallon de l’Eau Bourde. Ce sentier serpente sous chênes d’Amérique rougis par la saison, frênes et aulnes, érables, chênes pédonculés, bouleaux et châtaigniers, pins parasols et acacias, et bien d’autres variétés.

Au « Petit Arcachon » nous rejoignons la forêt galerie qui accompagne le cours de l’Eau Bourde, et abrite les nombreux moulins vestiges de l’époque des meuniers, des tanneurs, des verriers, des poudriers etc qui utilisaient la force motrice et l’eau de la rivière. Un seul des moulins présentait une roue à aube verticale, les autres ayant des roues horizontales plus adaptées à la lenteur du courant et au manque de chutes d’eau. Près des écluses de l’un d’eux, les restes d’une pisciculture abandonnée.

Et c’est le soleil qui nous ramène vers midi au parking de Cayac. Voyez les photos ci-jointes, et inscrivez-vous pour la prochaine randonnée.

SAISON EN COURS